Ce site Web a des limites de navigation. Il est recommandé d'utiliser un navigateur comme Edge, Chrome, Safari ou Firefox.

Livraison offerte à partir de 60€ d'achat

Interview d'Alicia Cenci

Alicia, peux-tu nous parler de toi de la manière dont tu le souhaites ainsi que de ton parcours ?

Alors, que dire qui soit intéressant haha, je m’appelle Alicia j’ai 32 ans (bientôt l’âge du Christ ouch), je viens des Alpes et j’aime la montagne et l’océan et tout ce qui va avec donc en règle générale les sports de montagne ou d’eau (ski, snowboard, randonnée, surf,…). Si on parle de parcours pro, j’ai obtenu un master en management du sport et derrière j’ai travaillé 7 ans dans une entreprise qui organise des compétitions internationales de ski (Freeride World Tour) en tant que head of communications, puis je me suis lancée en freelance en 2019 dans la comm et la production vidéo. Depuis je fais des vidéos diverses et variées, ça va de la pub pour une marque ou un événement au documentaire. Si on parle parcours de vie alors je suis née dans le sud-est (je dirai pas où, j’assume pas) puis j’ai grandi en Savoie et j’ai migré vers le sud-ouest et Biarritz en 2010. 

Peux-tu nous raconter en quelques mots ta dernière expédition?

Ma dernière expédition s’est déroulée au Népal, aux côtés de la quadruple championne du monde de snowboard freeride Marion Haerty. Nous sommes allées dans la région de l’Everest avec un objectif double : qu’elle descende en snowboard depuis un sommet appelé le Lobuche à 6’119m d’altitude (c’était une première pour une snowboardeuse) et aller à la rencontre des femmes pour qui la montagne est un outil d’émancipation. On a passé 18 jours au coeur de l’Himalaya avec ces femmes: des porteuses, des guides, des assistantes guides, des « pilotes de yak » (oui oui ça existe !)… Une sacrée expédition et une sacrée leçon de vie, on a découvert que la beauté du Népal ne résidait pas seulement dans ses montagnes, mais dans les personnes qui vivent dans leur ombre.

Quelle a été la plus grande difficulté que tu aies rencontré dans cette aventure ?

Le plus dur c’était de concilier le triple challenge de la difficulté physique liée à l’altitude, le challenge professionnel de repartir de là bas avec toutes les images souhaitées et le challenge personnel de se laisser aller parfois et de profiter pour soi, sans culpabiliser de pas avoir la caméra à la main et profiter du moment.

Tu mentionnes souvent que tu as une connexion particulière avec la montagne. Peux-tu nous en dire un peu plus ? Quel rôle joue la montagne dans ton bien -être ?

Je crois que ça ne s’explique pas et que c’est un truc qu’on a quand on a toujours grandi entourés des géants. La montagne c’est la maison quoi, c’est un peu comme un doudou ahah je suis apaisée juste de voir la montagne, même si c’est une bébé montagne comme celle qu’on voit depuis l’océan à Biarritz, ça me rassure. Puis ce qu’on vit en montagne… wow c’est juste un amplificateur de sentiment, dans le bon et le mauvais sens d’ailleurs. J’ai vécu des choses tellement intenses liées à la montagne, en positif comme en négatif, que c’est un mélange de respect, d’intimidation et à la fois de curiosité et de reconnaissance de nous laisser vivre des trucs pareil, comme on ne vit nulle part ailleurs.

Quel est ton rapport avec le sport et l’aventure en général ?

Le sport c’est une composante inhérente à ma santé mentale, si je fais pas de sport je deviens zinzin. Donc le sport c’est juste un besoin primaire comme manger, boire. L’aventure c’est ce qui me permet d’avancer dans la vie, j’ai toujours envie d’une aventure, pour me sentir bien et sentir le petit papillon au fond du coeur j’ai toujours besoin de savoir qu’il y a bientôt une aventure. La grande comme la petite aventure d’ailleurs, juste un challenge où on va découvrir ou se découvrir.

Est ce que tu as des routines ou des rituels dans ton quotidien ?

Plein ! Je suis un peu une toquée de la peau, surtout qu’elle se retrouve finalement pas mal agressée par les environnements qui me font vibrer. Le soleil, la montagne, le froid, la neige, l’océan tout ça.
Je n’utilise que des cosmétiques bio déjà. J’utilise une lotion micellaire bio ainsi qu'une crème hydratante le matin et le soir, en hiver j’utilise une « cold cream » pour protéger du froid. J’applique aussi une crème sur tout mon corps après la douche car j’ai de l’eczema depuis petite alors l’hydratation c’est pas une option.

Comment utilises -tu Aloa bibi dans ton quotidien ?

Je suis fan du savon depuis mon expédition au Népal justement, il sent bon, il hydrate, il est bio donc c’est OK de se doucher avec au fin fond des montagnes. Puis le gel, je l’ai adopté depuis le début et je l’utilise pour tout en fait ahah pour les coups de soleil, les irritations (vous savez cette irritation du zip de la veste de ski contre le menton, celle là oui), pour apaiser une piqûre d’insecte, pour réparer un bobo, une ampoule… Mes collègues d’expé étaient morts de rire de me voir sortir mon argument Aloa Bibi à chaque fois qu’ils avaient un bobo.

ACHETER LE GEL

Les mots de la fin :

Une ville : Ah c’est dur je peux en prendre 2 ou pas ? Biarritz - Annecy, si j’ai le droit que à une il faudra voir direct avec ma psy, j’ai toujours pas choisi ahah

Une odeur : L’odeur de la crème solaire, car ça veut en général dire ski ou surf et ça hmmm ! Aussi l’odeur du cinnamon roll qui cuit, ça c’est cool aussi.

Une émotion :
 La joie bien évidemment

Un film : C’est terrible parce que c’est mon métier et que je me rappelle JAMAIS des films que je vois. J’ai pas de film préféré je crois du coup ahah désolée. Par contre je peux te dire mon livre préféré si tu veux, ça je sais, c’est "Everest 1953 » de Mick Conefrey.

La phrase qui te parle :
 « Demain t’es mort ! » c’est de mon grand-père, ce poète ahah ! Juste pour se rappeler de bien profiter de tout, tout le temps, à 200%. 

L'épitaphe qui te définit le mieux : Ahah purée il est spécial pour moi lui ! Je pense que ce sera sans doute « Elle est morte de rire » car ça risque bien de se finir comme ça

Panier

Plus de produits disponibles à l'achat

Votre panier est vide.